Si on pense à priori qu’une cabane est immobile, si on dénigre tout édifice champêtre, forestier ou lacustre, si on rejette les zadistes, les anars et les écolos, alors il faut se laisser conter l’une des miennes qui – à rebours –, perchée autour de son arbre, a grandi de guingois et ne revendique ni perfection, ni utilitarisme, ni productivisme. Et, à posteriori, on décortiquera ses pensées dans les pas de Henry David Thoreau curieux de toute cabane qui, à la mesure de l’œil, du pied et de la main, nous dépaysera.
Whaaaa, le carnet est génial. Marie va être très contente !!!
Superbe travail ! Très élégant
Merci Claudine. Je suis tout à fait d’accord. Catherine est très active et son travail est très stylé ;-). Les récits se mettent doucement en place. On va avoir une belle collection de souvenirs de cabane. A bientôt. Alex.
Jolie cabane dans le murier