Le Pin laricio se manifeste à nouveau. Elle replonge dans sa balade de la veille ‒ la sortie du bois sombre, le chant des sittelles de gauche à droite et le chemin longeant l'espace déchiqueté des arêtes brunes. Des rouges et des verts comme ceux dont Matisse aurait éclaboussé sa toile. L'obsession du Pin laricio, la remontée des affects, des hontes, de toutes les bonnes heures aussi. Les voix de l'objet fantôme.